Elle s'amuse à nous faire gamberger de droite à gauche en passant par les paradoxes les plus ambigus, le bordel universel joint à nos impressions éphémères le tout au rythme de chaque jour, de chaque battement de cœur... quelle merveille! On peut pas se cantonner à l'instant présent, on a toujours l'œil sur ce qui va arriver ou sur le rétroviseur pour les nostalgiques, on jongle comme les clowns de l'existence que nous somme avec des temps qui nous sont complètement hors de contrôle en oubliant le seul vraiment en notre possession. Peut être seuls témoins de ce spectacle qu'on ne s'explique pas, avec ce besoin intrinsèque à la survie de nos morales d'être toujours occupé, toujours les écouteurs plantés dans les oreilles oubliant ainsi de penser aux drames de nos existences et à notre implacable finalité. Étourdit, constamment, victime de notre inactivité mentale qu'on obstrue de fausse suractivité, prit à la gorge par notre "calmophobie" et notre peur de la solitude. Mais répondant malgré tout cela, à notre rang d'homme, à nos potentiels en continuels expansions et défendant nos vies a tout prix pour voir jusqu'où cette expérience peu bien nous porter. J'aime ça.
Cet article n'est pas parfait et ne le sera jamais, je dois à présent reporter cette vision des choses sur ma façon de voir la vie... à c'est moins évidant d'un coup, j'suis pas habitué à sauter l'étape entrainement et passer directement à la pratique;
Biggest defect:ma vie je la vois comme un brouillon.
Et comme beaucoup je me dis que je verais, que je serais demain, mais demain ne vient pas, demain n'existe pas, seul le présent et ses chimères à affronter sont là pour nous sourires... Un seul choix se pose en fait: fuir ou faire face.